Côté histoire : Tome 1 : La Voie de la Sorcière. Maëlys est une jeune femme, orpheline, qui ne connaît pas ses origines. Au détour d’un couloir de fac, elle tombe sur un beau ténébreux, Alexandre, qui va la faire participer à des expériences “paranormales” ce qui révèlera la vraie nature de Maëlys : elle possède, de manière héréditaire apprendra-t-elle plus tard, certains “pouvoirs”, un don, comme une forte empathie. Dans le second tome Le Parfum du mal, Maëlys va aider la police dans une affaire de meurtres qui ressemble trop à des rituels pour ne pas avoir un lien avec le “monde magique”, celui des sorcières et des nouveaux amis de Maëlys.
Les deux tomes sont assez courts (138 et 160 pages) et se lisent vraiment bien. Le style est simple et permet de s’identifier aux personnages, de rentrer dans l’histoire. D’autant plus que les quelques évènements “magiques”, “paranormaux” sont présentés de façon tout à fait normal, sans exagération. Je dirais sans la touche “U.S.” que l’on peut trouver dans les grandes séries. Et le tout se passe dans le sud de la France, entre Aix-en-Provence et Marseille. Enfin une histoire qui se situe dans nos bonnes vieilles universités, dans un système éducatif que l’on imagine bien! Et même si ce décor est finalement peu présent, il contribue conséquemment à créer une atmosphère bien française ; c’est appréciable.
Et pour ne rien gâcher, l’auteur - adorable - s’est clairement documentée (à moins qu’elle soit elle-même Wiccane?), preuve en est des citations de Doreen Valiente, grande figure du mouvement, en début d’ouvrages ainsi que des quelques notes en fin de livre.
Les deux tomes sont assez courts (138 et 160 pages) et se lisent vraiment bien. Le style est simple et permet de s’identifier aux personnages, de rentrer dans l’histoire. D’autant plus que les quelques évènements “magiques”, “paranormaux” sont présentés de façon tout à fait normal, sans exagération. Je dirais sans la touche “U.S.” que l’on peut trouver dans les grandes séries. Et le tout se passe dans le sud de la France, entre Aix-en-Provence et Marseille. Enfin une histoire qui se situe dans nos bonnes vieilles universités, dans un système éducatif que l’on imagine bien! Et même si ce décor est finalement peu présent, il contribue conséquemment à créer une atmosphère bien française ; c’est appréciable.
Et pour ne rien gâcher, l’auteur - adorable - s’est clairement documentée (à moins qu’elle soit elle-même Wiccane?), preuve en est des citations de Doreen Valiente, grande figure du mouvement, en début d’ouvrages ainsi que des quelques notes en fin de livre.
Alors j’ai à peu près réussit à éviter la comparaison mais finalement si j’ai aimé Wicca (4 tomes bien épais), j’ai tout autant aimé les deux tomes de Fille d’Hécate, pour leur simplicité et leur efficacité.
Fille d’Hécate, T.1 / Cécile Guillot, édition Le Chat noir - 2012 (2e tirage) ; 138 p. - 11,90 € |
Fille d’Hécate, T.2 / Cécile Guillot, édition Le Chat noir - 2013 ; 160 p. - 14,90 € |